Ou que ne pas voir? En ce 1er jour du printemps du cinéma ou la place est à 3,50€, je vous conseille Le Territoire Des Loups et vous déconseille vivement La Vérité Si Je Mens 3
THE GREY – Le Territoire Des Loups – (1,5*) : Au vu de la note, vous êtes en droit de vous demander pourquoi je le conseille? Tout simplement parce que si vous n’avez pas vu The Way Back, alors Le Territoire… monte à 2*. Les 2 films n’ont certes rien à voir. Celui qui nous intéresse ici est un action-survival, l’autre était une histoire vraie psycho-survival (la dénomination est inventée par votre blogueur pour que vous visualisiez bien 
). Mais il y a beaucoup de similitudes dans le voyage, à commencer par les décors, mais aussi par les personnages, notamment l’équivalent “salaud” 
Bref, le film tient en haleine comme il se doit, avec un Liam Neeson parfait en vieux briscard leader d’équipe et chasseur de loups (bien qu’ici nos protagonistes soient les proies). Et la scène du crash hyper réaliste est mise en image comme jamais dans un film… à vous donner la phobie des avions!
Le réalisateur Joe Carnahan est retourné aux sources : The Grey est heureusement bien plus proche de son excellent Narc que des ses Smokin’Aces & Agence Tous Risques ratés! Chaque personnage possède sa propre histoire, mais assez développée ou crédible en regard de celle de Liam Neeson. La mise en scène est bien plus posée, notamment lors des flash backs qui font penser à ceux de Memento.
En supprimant 15 minutes et en renforçant un chouia l’histoire, la tension aurait été plus palpable et nous ressortirions de la salle la boule au ventre. Dommage.
B.A en lien dans l’affiche, comme d’hab.
LA VERITE SI JE MENS! 3 (0,5*) : Beware of the daube! (pour ceux qui ont l’habitude de l’anglais, le jeu de mots –à l’oreille- est pas mal, non? 
)
Tout ça pour vous dire en toute simplicité : n’approchez pas de ce film. Il est à des années lumières du 1 et surtout du 2! Gags éventés (et tous vus dans la B.A), acteurs qui cabotinent, mention spéciale à un Elbaz en mode Casper! Mise en scène paresseuse. Montage télévisuel. Et j’en passe. Ce film n’en est pas un : c’est un enchaînement de scènes dont le fil rouge reste introuvable à mes yeux.
Beurk! Et je me suis endormi, gage de non-qualité, non
Quartier Lointain 