Magic Mike XXL

Le 1er était une excellente surprise. Enfin, je dis surprise mais pas tant que ça : j’attendais ce Soderbergh débridé Sourire

En revanche, la vraie surprise était les performances de Channing Tatum et Matthew McConaughey.

Pour cette suite, plus de Soderbergh ni de McConaughey Triste

On verra, mais la B.A est bien marrante (quelle intro, mouha ha ha!)

Et si Bourne était une femme…

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HAYWIREPiégée en fr- (1,5*) : Décidemment, Soderbergh ne fait pas de(ux) films comme les autres! Il n’y a qu’à voir son éclectique filmo…pour le meilleur et pour le pire.

Avec cet Haywire, Soderbergh a-t-il essayé de s’attaquer au genre thriller/film d’action-espionnage qui a explosé avec les Bourne, M:I 3 & M:I 4 et nouveaux James Bond pour en faire son nouvel Ocean’s Eleven? Franchement, je n’ai pas la réponse et n’ai rien lu dans ce sens. Mais je répondrai par l’affirmative en ce qui me concerne. En mettant en vedette une actrice, il devait penser pouvoir récupérer un autre public. Le casting l’entourant, digne d’un Ocean’s justement, lui permettait d’avoir le budget et de faire ce que bon lui semblait. Pourquoi alors une inconnue? Pour la crédibilité. Gina Carano n’est pas une actrice, elle s’en sort pourtant très bien dans ce domaine (bien dirigée?). Mais là ou elle excelle, LA force du film, c’est lors des scènes d’actions qui, sans être spectaculaires, rendent le tout cohérent et crédible (je l’ai déjà dit…j’avais pas de synonyme me passant par la tête à ce moment là!).

Alors pourquoi seulement 1,5*? Parce que le film est trop court pour une histoire qui nécessitait plus de développement et moins de zones d’ombre. Quel dommage, tout vient de là. Car pour le reste, c’est tout ce qu’on aime chez Soderbergh (ou, au choix, tout ce que certains détestent!) : l’image léchée, l’ambiance soft, les codes couleurs, la musique au diapason et des acteurs qui ont tous des 2nd rôles au même niveau et qui semblent s’en réjouir.

A voir un soir à la maison au coin du feu Tire la langue

Enfin, du bon Soderbergh!

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MAGIC MIKE (2,5*) : Un mois après Haywire (Piégée) que je n’ai pas vu, le (parfois) très prolifique Steven Soderbergh (Out Of Sight, Traffic, The Limey, Ocean’s, Solaris et j’en passe…) nous revient en très grande forme avec ce film sur le monde du Striptease, plus particulièrement sur Channing Tatum (alias Mike). Explications : l’acteur qui monte a fait appel à Soderbergh pour mettre en images sa vie d’avant Hollywood. Tatum a en effet commencé en tant que Stripteaseur. Il est ensuite entré dans le monde du cinéma par la porte Sexy Dance pour enfin s’illustrer dans The Eagle et convaincre l’auteur de ce blog qu’il faut quelques fois faire fi des préjugés : impressionné par sa performance d’alors, c’est dans le très drôle 21 Jumpstreet que j’en suis venu à me dire : “ce mec a plus d’une corde à son arc, et c’est un (putain de) vrai acteur!”

Et le voilà qui nous revient dans un film dont le sujet le prédestine à un public de jeunes filles en fleur, clairement en opposition avec ce qu’on attend d’un type qui semble être le pendant de Brad Pitt des années 2010 (et pour avoir été, et toujours être, un fan de l’acteur aux multiples coupes de cheveux, le compliment n’est pas à prendre à la légère).

Bref, au vu de la bande annonce, il est peu probable que le film rencontre le succès.

Et pourtant…ce film est un régal :

-première image, on reconnait la pate Soderbergh : la photo est nette et filtrée, l’image ciselée, la bande sonore colle au sujet et fait preuve d’originalité. Pour les fans, c’est du bonheur.

-viennent ensuite les acteurs (vivement la v.o en bluray) au mieux de leur forme(s) : un Tatum nu et musculeux (de dos mesdemoiselles), un Matthew McConaughey tout en abdos et chaud comme la braise, dont le rôle semble avoir été écrit sur mesure (alors qu’il n’est certainement pas ce genre de personnage dans la vie…mais bon, l’image…que voulez-vous?), et la ribambelle d’autres taillés dans le roc (et qui peuvent nous faire culpabiliser…c’est bon, j’arrête le Nutella et les Mojitos Clignement d'œil)

-les chorées, punchy au possible, révèlent le travail sous-jacent à ce genre de spectacle. Il y a à ce propos 2 points à retenir : lorsqu’on parle à un mec d’un spectacle de striptease masculin, normalement ça le fait rire ou ça lui fait pitié. Là, Soderbergh réalise l’incroyable : il émerveille. Et je ne vous raconte même pas quand c’est Tatum qui entre en scène, clairement une bête de! Le 2ème point, c’est l’envie pressante d’aller faire la fête en sortant du film!

-enfin l’humour (1er ou 2nd degré) qui traverse le film bien que le sujet soit très sérieux! La scène de la pompe m’a bien fait rire 1 minute non stop, Tarzan est énorme (mais on le voit pas assez), et surtout la scène dans la salle de muscu entre McConaughey dans son petit haut jaune moulant trop court et le petit nouveau! Tordant!!!

Dommage alors que l’actrice de “1er plan” Cody Horn ne soit pas un peu plus mise en avant, et peut-être dirigée autrement (je ne l’ai pas trop sentie). Et dommage que le film ne dure pas un peu plus longtemps pour écorcher le système actuel plutôt que de simplement l’égratigner comme il le fait. Car dans le fond, qu’essaient de nous dire Soderbergh et Tatum? Ils nous parlent des difficultés rencontrées par les gens qui ne suivent pas le chemin classique “études-boulot-consommation-crédit”. La scène de la banque semblait en être les prémices, la chute tombant comme un couperet, elle balayait toute envie de rire.

Le film aurait peut-être perdu un certain bouche à oreille (celui du public cité plus haut) mais aurait gagné une 3ème étoile Clignement d'œil   

Deuxième partie : du très bon au pays du ciné US

Le-Stratege-Affiche-FranceMONEYBALL – Le Stratège – (3*) : Difficile d’être objectif en parlant de ce film.

Suis-je bête, un avis est tout SAUF objectif!

Alors tout va bien.

Disons qu’il est possible que j’eusse apprécié (et paf, un imparfait du subjonctif qui sert à rien, qui n’a aucune raison d’être dans cette phrase, mais qui m’a toutefois traversé l’esprit…c’est pour ça Sourire). Donc, que j’eusse apprécié plus que ce qu’il ne mérite pour son premier quart d’heure, lorsque Billy-Brad Pitt-Beane explique a son patron qu’il lui est impossible de gagner le championnat avec les moyens qu’on lui donne. Identification, quand tu nous tiens…

Tout film américain qu’il est, ça reste une histoire vraie dont la fin n’est pas forcément celle qu’on imagine.

2002, les Oakland Athletics ne remportent pas pas le championnat de baseball. Leurs meilleurs joueurs partent dans d’autres équipes pour des raisons financières. Brad Pitt, manager général va alors chercher de nouvelles solutions pour retourner la situation. Il engage alors Peter Brand (parfait Jonah Hill) dont les théories statistiques vont révolutionner ce sport.

Sachez que si comme moi vous ne comprenez rien au baseball, ce n’est pas grave (sauf lors des 5 minutes techniques ou je me suis vraiment senti seul et français au fond de mon siège de cinéma), le film n’est pas sur le sport mais sur les hommes qui en vivent et dont c’est la passion. Enfin, surtout un : Billy Beane. Il ne regarde pas les matchs de son équipe préférant rester seul, dans son coin, assis dans un stade vide, faisant de la muscu, ou conduisant avec juste un petit transistor qu’il allume et éteint au grés des points marqués ou ratés. Un caractériel qui n’hésite pas à tout casser quand il est énervé. Qui fait payer les canettes de soda dans le vestiaire de son équipe. Mais qui peut tout aussi bien verser une larme devant sa fille en l’écoutant chanter! Et nous avec…l’une des plus belles scènes du cinéma cette année, toute simple (vous ressortez en fredonnant “The Show” quoiqu’il arrive Sourire). Bref, Billy est un homme entier dévoré par sa passion du baseball (tiens, il est divorcé…ne peut-on concilier travail et vie sentimentale?) et par l’amour qu’il porte à sa fille.

Techniquement, le film est plutôt neutre. Scénaristiquement, il est parfaitement construit (merci Mr Sorkin, scénariste de “The Social Network”, tiens donc!). Mais Brad Pitt est ce qui pouvait arriver de mieux à ce film. Un Brad Pitt qui se bonifie avec l’âge et qui, du haut de ses 48 ans (putain, c’est dingue quand même!), magnifie le rôle qui lui est confié. Ok, le temps passe et les tics restent…mais on s’en fout. Après tout…c’est Brad Clignement d'œil

Contagion-Affiche-Comic-Con-375x500CONTAGION (2,5*) : J’en entends déjà au moins un qui crie au scandale! Mais il est loin de Toulouse Tire la langue J’irai droit au but, Contagion n’est vraiment pas le meilleur Soderbergh, et ça fait bien longtemps que ce dernier ne nous a pas retourné. Il n’empêche, ce film travaille les engrenages. Son seul défaut sera de ne pas tenir la distance, bien qu’encore celà ne m’ait pas gêné, l’aspect cinématographique de l’œuvre ayant fini par l’emporter. En tout cas, les 10 premières minutes font mouche, en ce sens qu’elle traumatisent la rétine par ces gestes de la vie quotidienne, tous plus banals les uns que les autres et qui pourtant nous amènent inéluctablement à la catastrophe planétaire : on le sent plus qu’on ne nous le dit au début! Fort le Steven!!! La suite n’est qu’un constat, un enchaînement de faits (dans le sens “actes”) genre documentaire, la forme et l’intrigue en plus.

La partition du sieur Martinez est une fois de plus au rendez-vous et surtout au diapason. Cette musique entêtante, lancinante et belle à la fois nous hypnose.

Bref, n’allez par chercher une explication ni même un sens au film. Il n’existe que par lui même et pour tous ceux qui sauront l’apprécier.

Ok, c’est facile de dire ça…ça veut tout et rien dire, mais il faut bien terminer par quelque chose Tire la langue

Ah, j’aime bien aussi ce visuel, alors je vous en fait profiter :

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The-Ides-of-March-Affiche-TeaserTHE IDES OF MARCH – Les Marches Du Pouvoir – (2,5*) : Nouveau film de et avec Clooney. Maintenant ça y est, on peut dire “c’est un film de Clooney” car on reconnait parfaitement sa patte. Une belle pattoune en plus. Toujours à 100% dans l’histoire, pas d’esbroufe aucune. Ici, il adapte un roman racontant les dessous du monde politique, en particulier les manipulations, trahisons et autres coups bas qui font et/ou défont les hommes du pouvoir. Et qui de mieux, aujourd’hui je dis, que Ryan Gosling pour interpréter le jeune (et pourtant hyper compétent) conseiller de campagne du gouverneur Clooney lors des primaires aux USA. Et comme dans le précédent DRIVE, il tient réellement le premier rôle. Certes il ne l’embrasse pas autant. Il n’empêche, on y croit dur comme fer. On croit à sa passion, son dévouement, son intégrité…tout comme on croira au reste par la suite. Et quelle suite. Logique mais pourrie! Un monde de salopards, tous plus égoïstes et carriéristes les uns que les autres!

A quand l’équivalent français?

Et comme j’ai un faible pour les affiches (de qualité cette année), je vous renvoie à ma préférée sur 2011, juste haut dessus, celle de ce film Sourire

Un dimanche ensoleillé au ciné

  Voilà ce que c’est que de faire un boulot qui vous bouffe la vie (et la santé!), on en est réduit à ne pouvoir aller au cinéma que le dimanche puisque en se cognant des journées entre 12 et 15 heures de travail, on a ni le temps ni la force de se faire une toile le soir en semaine. Ah et aussi, comme les journées sont trop courtes (!) on travaille chez soi un 6ème jour…de là à trouver une ressemblance avec Dieu, il n’y a qu’un pas (que je ne me permettrai pas de franchir Clignement d'œil)

Notez que :

1 – seuls “Le Complexe Du Castor” et “Very Bad Trip 2” ont été vus aujourd’hui, les autres datent du w-e dernier

2 – et dans les autres, un seul passe au ciné : “Pirates”

very-bad-trip-2THE HANGOVER 2Very Bad Trip 2- (1,5*) : On prend les mêmes et on recommence…à l’identique! Même “intrigue” si j’puis dire, même genre de gags, revus et corrigés en plus gros et gras. Bref, ne perdons pas de temps, s’il est un film que vous irez voir en connaissance de cause, c’est bien celui-ci. Pas de bonne ou de mauvaise surprise. On se marre ou il faut quand il faut mais entre, ça sonne un peu creux. Le plus drôle reste une fois encore, vous vous en doutez, les photos de générique de fin!

le-complexe-du-castor-the-beaver-25-05-2011-20-05-2011-1-gTHE BEAVERLe Complexe Du Castor- (2*) : Voilà un film qui paraissait inquiétant sur le papier. Imaginez-vous un Mel Gibson dépressif, vieillit, et qui parle par l’intermédiaire d’une peluche-castor qu’il s’est “coincé” au bout du bras (comme les ventriloques, sauf qu’il n’en est pas un). Un dépressif qui se fait schizo pour guérir!

Finalement pourquoi pas? Jodie Foster, réalisatrice, ne nous avait pas habitué à ce genre de sujet. Le résultat est probant même si 90 minutes sont insuffisantes pour correctement approfondir le sujet. Et c’est lorsque les personnages sont bien plantés qu’ils mériteraient que l’on s’attarde sur eux. Malheureusement le film en est déjà aux 2/3. On survole donc. Vraiment dommage, d’autant que l’on touche à l’une des plus graves maladies du XXIème siècle.

Mon second regret est de ne pas avoir pu le voir en V.O tellement Gibson est impressionnant. Mais, comme l’ont dit certains, ce n’est pas entièrement un rôle de composition Clignement d'œil

johnny-depp-pirates-des-caraibes4-festival-de-cannes-blogdufestival1PIRATES DES CARAIBES 4 (1*) : Normalement il ne mérite que 0,5* mais le voir en IMAX 3D relève l’expérience. Sinon, il est du niveau des 2 et 3, c’est à dire passablement médiocre, pour ne pas dire nul et chiant. Alors que ce qui avait été mis en place dans le 1er permettait de voir fleurir une franchise intéressante sous l’aile de réalisateurs plus talentueux. So bad!

Donc, pour résumer, Depp n’est plus que l’ombre de Sparrow, le nouveau méchant “Barbe Noire” aurait gagné en noirceur justement, et le pseudo-prêtre avec son amourette tardive pour une sirène fait pleurer de honte. SVP, pas de 5, ou alors mettez Fincher derrière la caméra Sourire

aff1LA STRATEGIE DU CHOC –The Shock Doctrine- (2,5*) : en voilà un bon documentaire-choc (ben ouais!). On suit Naomi Klein présenter ses recherches (synthétisées dans son livre du même nom) dans des conférences à travers les Etats Unis pour faire comprendre comment nous en sommes arrivés au capitalisme d’aujourd’hui. Ah, j’oubliais, c’est Michael Winterbottom qui est aux commandes, excusez du peu Sourire.

Je ne le dirai jamais assez : malgré mon 13 arraché au bac en histoire (coup de chance?), je suis une brêle en la matière. Et ce pour 2 raisons : ça ne m’intéressait pas à l’époque, ce que je regrette amèrement aujourd’hui! Et en plus j’ai une très mauvaise mémoire (peut-être finalement comme tous ceux qui arrêtent les études peu après le bac?

Bref, ce docu était parfait pour moi : clair, complet, imagé (et oui, c’est important Clignement d'œil) et très explicite. On commence avec la première crise boursière de 29 et ses conséquences, et on en vient au début du “mal” avec le coup d’état de Pinochet au Chili contre Allende en 73. Là, je suis happé par les images d’archives, les commentaires pertinents et le bide commence à se serrer de dégout et d’énervement. Et quand arrive le roi des enculés, Milton Friedman, un mec aussi dangereux qu’Hitler, mais plus sournois, la rage est à son comble (je parle de moi, le canapé doit encore se souvenir de mes poings!).

Je n’en dis pas plus, ce documentaire est déjà passé sur Arte, vous n’aurez aucun mal à vous le procurer, c’est d’la balle! 

 

out_of_sight_1OUT OF SIGHT –Hors d’atteinte- (3,5*) : Retour sur le chef d’œuvre de Soderbergh, le film qui me l’a fait découvrir et qui a réellement lancé la carrière de Clooney (et qui a prouvé que Jennifer Lopez était une sacrée bonne actrice -elle n’a pas su le confirmer par la suite…).

Sorti en 98, le choc fut violent. Les images, la mise en scène, les acteurs, la musique, le montage…tout dans ce film sentait la maîtrise de l’art cinématographique par ce jeune réalisateur qui s’était fait plus que remarquer à Cannes avec “Sexe, mensonges et vidéo” (mais je ne l’ai pas aimé…), et dont le superbe “Kafka” et le très intéressant “A fleur de peau” laissaient présager du meilleur.

Mais à ce point?

Certainement pas.

Déjà, l’histoire montée de manière faussement déstructurée (tout en flash-back et flash-forward), sans être une nouveauté, était couillue pour un jeune réalisateur. Et les ambiances surlignées par les filtres de couleurs (Détroit bleue et froide, Miami orangée et chaleureuse) de manière aussi flagrante ne faisaient qu’ajouter à l’étrangeté du film. Sans parler de cette majestueuse musique non symphonique, aux antipodes de ce qui se faisait alors! Et les micro-freeze, lors de passages clefs, d’ajouter à l’émerveillement procuré à l’époque, et encore aujourd’hui, devant la toile. En ai-je été témoin par la suite? Je ne m’en souviens pas, mais si c’est le cas, la qualité ou l’utilité ne devaient pas être de la partie.

Out-of-Sight-trunk-sceneLe scénario en béton (adaptation d’un roman de Leonard!) permet aux acteurs de s’en donner à cœur joie et Clooney et Lopez d’électriser la salle lors d’une scène d’anthologie dans le coffre d’une voiture. La scène dure bien 7 ou 8 minutes, en presque plan séquence, et les dialogues ciselés me réchauffent encore le corps. L’une des plus incroyables scènes de drague du cinéma.

Out-of-Sight-Blu-raySans parler de LA plus belle scène, tout court, et l’une des plus belles du cinéma là aussi (décidément!), celle ou JLO attend à une table de restaurant, à l’étage d’un hôtel, et qui voit arriver Clooney. Indescriptible. Magnifique. Transcendant. Soderbergh, génie du 7ème art!!!

On ressort du film dans un état second et émerveillé.

LUCKY LUKE (0,5*) : Un mauvais film avec Jean Dujardin, il fallait bien que ça arrive! L’œuvre n’est pas fidèle à la BD, du moins à l’esprit, tel que je m’en souviens. Et pourtant, Dujardin est parfait. Youn est pitoyable (qui a écrit son rôle bidon???). James Hut serait-il simplement l’homme de “Brice de Nice”? Passons

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