Frissons…

La B.A du prochain Terrence Malick me file déjà la chair de poule. On reconnait son style entre 1000 et, pourtant, il semble se moderniser (c’est l’histoire qui le veut, mais quand même…).

C’est un peu comme s’il avait rencontré Michael Mann (ces quelques plans de nuit, waow!).

Vivement la sortie.