Ceci n’est pas un billet ciné mais un retour aux sources…à la source : Lourdes

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SNEAKERS (2*) : Un vieux film que tout le monde a certainement déjà vu (sauf moi donc, une fois de plus…). Mais oui, en français c’est Les Experts avec Robert Redford, Sydney Poitier, Ben Kingsley, et j’en passe (cf affiche), et c’est sorti en 92! Je commençais à aller au cinéma à Lourdes (!) Il avait dû passer là bas, en plus, mais à 14 ans, vu l’affiche, j’avais du me dire que c’était chiant. Et “je” = “on”, parce qu’à cette époque j’allais pas seul au cinéma Clignement d'œil 

Ahhh, souvenirs…

92, une belle année marquée par mon enthousiasme face au superbe Conquest Of Paradise de Ridley Scott (pourquoi autant de gens le détestent-ils encore???) et mon dégout de ne pas avoir 16 ans pour aller voir le sulfureux Basic Instinct dont on parlait dans la cour du collège entre 2 prises de tête pour savoir comment trouver le passage secret du 85ème niveau de Super Mario World et une partie de “Pala”.

Et les devoirs de latin faits in extremis dans la cour…

Bref, revenons à notre barre chocolatée film : un thriller bien ficelé sur l’espionnage, les faux-semblants et les secrets gouvernementaux.

La bonne surprise, c’est qu’il n’a pas pris trop de rides : on le regarde avec plaisir de nos jours, sans être foncièrement choqué. Le scénario est un peu gros, mais bien amené, c’est l’essentiel. Le film ne se prend pas la tête et le petit humour des films des années 90 est bien présent et fait un bien fou.

Pas besoin d’en dire plus. 

Le Tsar Volant, suite

En janvier, je postais un billet sur l’ami Silvan, star du volant, tombeur de ces dames et ivrogne notoire amoureux des apéros : https://mynameisinigomontoya.wordpress.com/2013/01/08/le-tsar-volant

Il nous revient plus fort, plus grand et plus (là je vous laisse choisir) à bord de sa caisse de compét, sa voiture “handmade” : sa Megane RS.

Et il l’aime sa Megane, vous en aurez la preuve sur la fin de la 2ème vidéo quand il lui tapote tendrement le tableau de bord Tire la langue

Bref, voici 2 nouvelles vidéos ou monsieur cartonne : 2ème sur la 1ère et 1er sur la 2ème, rien que ça.

Voilà, messieurs les sponsors, si vous me lisez, le jeune homme fringant et casqué que vous verrez ci-dessous se finance lui-même! Alors, un p’tit coup de pouce pour ce futur champion?

N°1 : petite frayeur à 15mn50 Clignement d'œil

N°2 : Magnifique. Et le gros coup de pression qu’il met au 1er à 11mn30! Et comment il le dépose surtout 30 secondes plus tard Sourire Sourire Sourire

Bravo mec!!!

Ce n’est qu’un au revoir

Après 6 ans de bons et loyaux services dans la Sté Innodrive à Labège, votre bloggeur préféré (le seul???) s’en va dans la Sté Pointe Blanche située dans le quartier de Jean Chaubet.

Demain!

Et oui, déjà, si vite…c’est en rentrant ce soir que j’ai pleinement réalisé. D’abord en remettant mes clefs à ma remplaçante, puis mon ordi et enfin en posant mon sac chez moi, dans le hall d’entrée.

Les images passent devant mes yeux sans que je puisse faire le point. Elles tournent et s’envolent à vitesse grand V pour aller se ranger dans un coin de ma mémoire.

Les moments forts s’invitent pour un dernier tour de manège, style grand 8, me faisant réaliser 2 choses :

  • j’étais fier d’avoir pu développer cette équipe (qui en a vu passer…)
  • je réalisais que cette dernière était hors du commun

Et c’est le cœur gonflé de chagrin, un verre de bon vieux rhum à la main (puis de whisky Sourire), que je dis :

Au revoir et merci!

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Le Tsar Volant

O_O

o_O,

Ok, ok, je joue sur l’actualité avec un tel titre, mais ceux qui vont tomber dessus par inadvertance curiosité en seront pour leur frais. Ou pas?

En effet, faute de Tsar Volant, je vous propose la vidéo de la Star au Volant, j’ai nommé Silvan (oué, oué, vous avez peut-être croisé son nom une ou deux fois au détour de ce blog Clignement d'œil)

Oui, parfaitement, le même Silvan qui débarquai un jour à la fac (f*** 15 ans déjà!) le visage couleur bonbon Vichy car une de ses roues de voiture avait décidé d’aller très très loin à gauche de la rocade, de l’autre côté quoi, quand lui essayait d’aller tout droit si mes souvenirs ne me trompent pas.

Celui-là même qui explosai le rétro de l’Ax de sa sœur, alors empruntée pour THE occasion : un LE voyage en Ariège (et ses petites routes bien étroites Tire la langue)

Tu m’excuseras, copain de beuverie, de jeter sur la place publique* 2 souvenirs peu reluisants (ok, la roue, tu nous l’as dit, c’était un coup de ton père Sourire).

Mais avec le recul, c’est tellement drôle Clignement d'œil

Bref, c’est ce type que vous allez voir en vidéo sur la dernière course de la Coupe de France des Circuits 2012 à Magny-Cours, dans sa Mégane R.S. (il se l’est fabriqué, rien que ça!).

Il part dernier…et oui, un problème technique lors des qualif…euh, je vous ai bien dit qu’il s’était fait sa voiture tout seul? Tire la langue

Il part dernier et…quelques tours plus tard…mais je vous laisse voir : (vous pouvez lancer la vidéo à 3mn pour arriver directement au tour de chauffe, aussi appelé le tour de l’ivrogne )

Ou direct à 8mn20, et là, c’est que du bonheur :

Congrats dude!

The Legend Of Zelda & souvenirs d’ado

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Tout est dit sur la jaquette : “Acceptez l’ultime défi d’une aventure INTERMINABLE

Parce que, c’est pas pour dire, mais il est chaud le Zelda 1er du nom!!!

C’est grâce à la 3DS et au programme Ambassadeur de Nintendo que je peux enfin jouer gratuitement (Merci Big N Sourire) 25 ans après sa sortie en France!!! Et franchement, graphiquement, putain ça se tient. On savait Miyamoto génial. Le temps qui passe ne fait que le confirmer.

Ce jeu est un enchantement de chaque instant : les décors (mais si, je vous assure, il faut y jouer pour le comprendre!), les couleurs (quel dépaysement), la musique (rahhh, les mélodies n’ont pas pris une ride).

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Mais c’est aussi un énervement perpétuel! “Interminable” qu’ils disaient… Bah, je vais bien finir par le terminer, mais diantre qu’il est dur! On n’en fait plus des comme lui. Un pur “Die and retry”. J’en suis au 7ème donjon (du 1er monde, gloups) et j’ai bien dû mourir 100 fois!!! Et encore, heureusement qu’il y a internet pour découvrir certains secrets. C’est là que je me demande : comment faisait-on à l’époque pour savoir que dans l’une des 128 “cases” du monde extérieur il faut bruler le 5ème buisson en partant de la droite pour découvrir un passage menant à un cœur!!!??? Bref, je n’avais pas autant crié et râlé en jouant à un jeu depuis bien longtemps. Grrr

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Mais j’oubliais, ce jeu était aussi en avance sur son temps pour la bonne et simple raison qu’il est en monde ouvert! Un truc de dingue. Dès le début, on peut aller ou l’on veut (sauf dans le donjon 4 ou il faut un radeau et le 7 aussi ou il faut assécher un lac). La preuve, en commençant la partie, alors que je me baladais, je tombe sur une entrée de donjon. Ni une, ni deux, je fonce. Je le torche. Je reprends ma balade. Re-tombe sur un donjon. J’entre et là je remarque qu’en haut à gauche de l’écran est écrit “level 3”…tiens? Je sors, je retourne au précédent par curiosité et, je vous le met en mille, en entrant apparait “level 2”! Putain, j’ai même pas commencé par le début!!! Du coup je suis parti à la recherche du 1er.

Rien que pour ça, c’est génial.

Je conseille ce jeu à tous les amoureux d’aventure (depuis leur canapé, ou même un bout de trottoir, c’est la force de la 3DS Clignement d'œil).

Pour terminer, je vais vous raconter une courte histoire, un souvenir d’ado lié à ma découverte de Zelda. J’avais 11 ans, je venais de débarquer dans une ville que je ne connaissais pas, loin de mon Ariège natale : Lourdes. Ma mère venait y faire un bout de vie. On y a passé 4 ans, tous le collège. Une période bourrée d’excellents souvenirs et durant laquelle j’ai pu nouer des amitiés impérissables.

Bref, je suis invité chez un nouveau copain, Pierre. Son petit frère était là, Michel. Un autre nouveau copain était présent, Pierre-Henry. On monte dans une chambre du haut ou se trouve la NES et un petit écran TV. Ils vont me montrer le nouveau super jeu : Zelda. Je pense bien que ce qui est arrivé à ce moment là restera à jamais gravé dans ma mémoire. C’est PH qui insère la cartouche et lance le jeu. Le petit frère pousse un cri et et sort en courant de la pièce (!) et Pierre se planque sous le bureau!

Là, je me suis dit “merde, je suis tombé chez des fous!” N’oubliez pas que je ne les connaissais que peu, c’étaient de nouveaux amis.

10 secondes s’écoulent ou la tension est à son comble. Je reste à regarder, ébahis.

A cet instant, un hurlement déchire l’espace : c’est PH. Putain, je comprends de moins en moins! Mes souvenirs ne sont pas très clairs, mais j’entends le(s) “Nooooon!!!” et des cris.

Et on m’explique. Zelda, me semble-t-il, était la 1ère cartouche à bénéficier d’une pile de sauvegarde. Avant lui, pour finir un jeu, il fallait le faire non-stop! On pouvait aussi faire “pause” et laisser la console allumée (malheur à celui qui l’éteignait par inadvertance!). Comme toutes les nouvelles technologies, cette dernière n’était pas 100% fiable. Et donc, régulièrement, la sauvegarde plantait et il fallait tout reprendre à zéro! Je venais de comprendre le drame qui s’était joué devant mes yeux.

Avec le recul, et pour enfin connaître le jeu (oui, j’avoue, à l’époque il ne m’avait pas attiré…un traumatisme? Clignement d'œil), je comprends d’autant mieux les cris Sourire

Bon, c’est pas tout, mais faut que j’y retourne.

Bye!

The Legend of Zelda Nes Gold Cartridge

Appelez moi bricolo-man

Et voilà, suffit que j’annonce un billet sur mes films en retard pour que j’en balance un sur le bricolo-bidouillage!

En effet, alors que je m’apprêtai à retourner à mon PC après avoir visionné Contagion, je fis, par mégarde, tomber pour la n-ième fois mon iPhone. Alors qu’il avait survécu aux précédentes, non sans en garder, tout comme mes épaules, des cicatrices indélébiles : la vitre était fendue par 4 endroits distincts, il manquait même un morceau de verre!

Chute fatale et donc intervention chirurgicale d’urgence.

Je gardai sous le coude une vitre commandée à 6€ sur la toile pour un cas comme celui-ci.

Sauf que…

Et oui, il y a un “sauf que”! Sauf que je ne m’en étais pas plus préoccupé que ça lors de la réception du petit colis. Mais j’y reviendrai au moment propice.

Je tape sur Google “changer vitre iPhone” et tombe sur une vidéo de 11mn. “Tiens”, me dis-je, “il me semblait qu’il fallait 30 à 45mn? Bah…”

Présentation des outils nécessaires, en général livrés avec la vitre…vous le voyez venir le “sauf que”?

Dans le mille, j’ai reçu une vitre sans mini tournevis, ni ventouse, ni (et ça je le découvrais à la fin) double-face!

Mes cruciformes se sont avérés bien trop gros et c’est avec le 5ème et dernier couteau que je réussissais de la pointe, non sans mal, à enlever le 8 vis microscopiques.

“Enlever délicatement la vitre avec la ventouse et s’aider au besoin d’un cutteur”. Ok, direction la salle-de-bain pour décrocher un support plastique (pour poser gel douche et autres accessoires) muni d’une ventouse. Tadam, ça fonctionne. J’enlève, je gratte, nettoie, etc. Maintenant, faut mettre le double-face spécial que je n’ai pas! Arrivé jusque là, hors de question de faire machine arrière. En grand bourrin que je suis aux heures tardives, je me jette sur mon tube de colle super-glue 3, et vas-y que je t’en mets partout (le truc incroyable avec cette colle, c’est qu’il ne faut surtout pas en mettre sur la peau et que systématiquement je ne me rate pas!).

Voilà, la prochaine fois que la vitre se pète, personne ne pourra l’enlever! Hum…

Bref, je remonte le tout (j’en ai chié pour les vis parce qu’arriver à les caler avec mes gros doigts avant de pouvoir les visser tenait de la gageure!)

Et après un combat de 30-35mn (soit 3 fois le temps de la vidéo), mon iPhone est comme neuf! Yeeeesssssss!

Et le billet ciné, ce sera pour un autre jour Clignement d'œil

C’est l’histoire d’un mec…

…qui adore le cinéma au sens très large du terme : l’industrie, l’art et le lieu.

L’industrie pour ce qu’elle est capable de créer (des milliers de films par an), d’engendrer (des réalisateurs, acteurs et techniciens hors norme) et de représenter (notre société présente, passée et future, des univers parallèles, toute sorte de genres…)

L’art de mettre tout aussi bien en images les plus grands fantasmes comme les choses les plus simples, de transcender lesdites images par une musique appropriée nous entrainant encore plus loin dans l’expérience, de faire des hommes ce qu’ils ne sont pas ou de faire croire qu’ils sont encore plus que ce que l’on s’imagine. L’art de rendre le tout cohérent et crédible.

Le lieu pour ce qu’il représente : un temple du divertissement, de la réflexion, de la peur, du rire, de la tristesse, de la beauté et j’en passe. Pour ce qu’il rappelle des moments de partage avec les personnes qui adhèrent au même “dogme”, avec toutefois des niveaux d’adoration différents. Pour la communion, si je puis dire, qu’il appelle.

Ce mec, c’est moi. Mais c’est aussi un peu vous. Beaucoup pour certains même, plus que moi quelques fois (j’ai un seul exemple en tête, mais je l’ai bien mon Pierrot!).

Le problème, c’est qu’une passion ne peut jamais être assouvie. Qui plus est lorsque le temps passe et qu’il nous manque, lorsque le travail et la “vraie” vie prenne le pas, parce que l’insouciance se transforme petit à petit, malgré nous, parce qu’il y a des choses plus importantes dans la vie que le cinéma (j’en rassure certains, je n’ai pas attendu 34 ans pour m’en rendre compte Clignement d'œil). Cependant, difficile pour moi d’imaginer une vie sans cinéma (j’entends aussi par là le cinéma à la maison Sourire). Tout comme certains sports (pour ne citer que le foot, beurk!) sont là pour exalter les foules mais surtout pour canaliser les énergies et empêcher des révolutions (le propos est un peu extrême, mais pourtant ô combien juste : les combats de gladiateurs en étaient les précurseurs), le cinéma à vocation de décompression. Oublier un instant le quotidien pour se plonger dans le rêve, quel que soit sa forme, ou dans la peau d’un autre (plus fort, plus intelligent, ou plus bête, plus malchanceux, etc).

Euh…je crois que je vais m’arrêter là, on risque de s’imaginer que mon blog devient une catharsis. Ce billet en serait les prémices Sourire 

A la base, je voulais juste rappeler que je suis frustré de ne pouvoir voir autant de films que je le souhaite, et surtout de ne pouvoir suffisamment en parler autour de moi. D’ou ce blog en grande partie. Et là encore frustration : je ne trouve pas toujours le temps de taper mon billet!

Alors je vais essayer de le prendre tout à l’heure car j’ai 7 ou 8 films de retard (mais aucun au cinéma, aucun de récent!).

A toute!

Flash back

Que de souvenirs. Et surtout, que de pièces insérées dans les machines d’arcades “Toki”! Ah là là, ça ne me rajeunit pas. Je pense que c’est l’un des 1ers jeux vidéos que j’ai découvert avec à l’époque “X-OR”! Parfaitement, ce dernier existait et il était excellent. J’y jouais dans un bar à St Girons (déjà tout petit… Clignement d'œil), et certainement aussi à la mer.

Bref, enjoy le travail réalisé par les gars Golgoth Studio qui le remettent au goût du jour!

Rien de tel

Celà ne fait-il pas trop cliché que de dire :

“Rien de tel qu’un bon whisky en rentrant du boulot!”

?

Si. Et ça peut même faire alcoolo sur les bords!

Mais comme toute chose, cette phrase doit être replacée dans son contexte, et peut-être même complétée. Nous y voilà…

Une journée de travail harassante, commencée alors que le jour se levait et terminée bien après le coucher du soleil. Fatigué, je franchis le seuil de l’appartement. Il est 21h55.

Direction la douche. Quelle sensation! Le bonheur se fraie un chemin.

Hop hop, tout sec et sapé, je ne pense qu’à une chose : ne pas avoir pu profiter de cette chaleur confortablement installé sur ma terrasse, face au soleil couchant.

Qu’à celà ne tienne, il est 22h30 et des poussières. Il fait encore 22 degrés dehors. Chaise longue en place, lumière d’ambiance sur “on”, “Tuiles” goût paprika de Tokapi sorti(e)s (et pour info, une portion de 24g contient 130 kcal…le paquet fait 170g!), un verre à whisky dans la main droite (dosage : 4cl de The Glenlivet 18 ans d’âge), un bouquin dans la gauche. La phrase fuse dans ma tête : “Rien de tel qu’un bon whisky en entrant du boulot…”

Et voilà comment passer 30mn de bonheur simple alors que rien jusque là ne le laissait présager! Tout comme on dit qu’il faut savoir forcer la chance, je dirai qu’il faut savoir forcer le bonheur Clignement d'œil

Le tee-shirt n’étant plus suffisant à 23h, je décidai de rentrer.

Je tapai mon billet.

J’en arrivai donc là –> .

To be continued…